L'Homme qui prenait sa femme pour un chapeau

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Olivier Sacks décrit dans ce livre les affections les plus bizarres, celles qui atteignent l’homme non seulement dans son corps, mais dans sa personnalité la plus intime et dans l’image qu’il a de lui-même.

Il nous fait pénétrer dans un royaume fantastique, peuplé de créatures étranges : un marin qui, ayant perdu la notion du temps, vit prisonnier d’un instant perpétuel ; un homme qui se prend pour un chien et renifle l’odeur du monde ; un musicien qui prend pour un chapeau la tête de sa femme, et bien d’autres…

Tentatives aussi pour poser les jalons d’une médecine nouvelle, plus complète, qui, traitant le corps, ne refuserait pas de s’occuper de l’esprit, et même de l’âme…

Dans les écrits d'Oliver Sacks, tout est bon, tout est à prendre. J'ai de très beaux souvenirs de lecture de L'homme qui prenait sa femme pour un chapeau. Toutes ces histoires humaines sont profondément bouleversantes. Peter Brook s'en est d'ailleurs inspiré pour une mise en scène formidable.

Le neurologue et écrivain britannique est un modèle pour moi. Sa qualité d'écoute, son énergie, son humanité, son intelligence et sa sensibilité font de lui un homme remarquable.

Professeur à l'Université de New York en bioneurologie et médecin consultant dans de nombreux hôpitaux new-yorkais et chez Les petites sœurs des pauvres, il a écrit plusieurs ouvrages sur différents cas cliniques qu'il a rencontrés au cours de sa carrière. Il est célèbre mondialement par ses ouvrages sur les études du comportement d'individus ayant subi des troubles aux lobes de leur cerveau.

Ses récits composés d'anecdotes qu'il rapporte et analyse, rend accessibles ses conclusions auprès d'un grand public non spécialisé et aux spécialistes pour les aider à élaborer de nouvelles théories en neurologie.

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