Les Cahiers de l'imaginaire

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<strong>VARICELLA 🔺</strong> danse passion

Tous ceux et celles qui ont pris des cours de danse enfants se souviennent de la discipline exigée, la douleur parfois, et la joie ressentie après les premières performances réussies.

Lorsque l'on porte la danse en soi, rien n'est plus important. On accepte d'en payer le prix. Les heures d'effort et de travail remplacent les heures de loisir. Même si toutes les formes d'art demandent énormément de discipline, la danse est exigeante tant pour l'esprit que pour le corps.

Varicella, le film de Viktor Kossakovsky qui était en compétition au 35e Festival International du Film sur l'Art à Montréal par Sylvie Gendreau, Art Talks

En voyant le film de Victor Kossakovsky, je me suis rappelé une amie qui prenait des leçons de piano au moment où je prenais des leçons de ballet. Nous restions des après-midis entiers à répéter les mêmes exercices plutôt que de rejoindre nos amis à l'extérieur. La passion permet de tout accomplir.

J'ai aimé l'atmosphère qui se dégage du film VARICELLA. Le cinéaste a su soustraire plutôt qu'ajouter. La photographie, les silences, les effets par petites touches, la passion de la danse et l'amour entre deux soeurs dédiées à un entraînement rigoureux pour réaliser leurs rêves : devenir danseuses étoiles.

La trame narrative du film repose sur le dialogue entre Nastia ,13 ans et Polina, 7 ans. Entre des échanges qui vont à l'essentiel, les effets visuels et la direction photo, une poésie se dégage et montre que la passion n'a pas d'âge.

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Polina

— Pourquoi danses-tu ?

Nastia

— Pour être heureuse.

Envie de tenter l’expérience ?

DÉCOUVREZ L’EXERCICE No. 47


Décrocher la lune


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